Insupportable

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 5 ans

Qu'est-ce qu'il est insupportable ce soir!!! Je peux pas lire tranquillement, pas une minute à moi.

Il insiste pour que je m'occupe de lui. Incapable d'attendre un peu. Il m'agace ce soir...

Excédée, je cède. Je lâche mon livre et lui demande de se déshabiller pendant que je pars chercher quelques affaires. Je reviens avec un sac pleins de choses. Il est déjà tout émoustillé rien qu'à voir le sac. Il pense qu'il va passer un bon moment. Il va pas être déçu.

Il est allongé sur le dos, prêt à recevoir sa punition...enfin sa récompense pense-t-il. Mais il est loin du compte.

Je sors quelques affaires, une tige urétale, du coton, des tampax, deux oeufs, des flocons d'avoine, du lait, une bougie, des serflex, une bougie, une ceinture de chasteté...

Sans plus de précautions et de préliminaires j'insère la tige froide de 7cm dans son urètre. Pendant que sors le suppositoire de son emballage il joue avec la tige en la rentrant et la sortant, ça l'amuse. Je reprends la main et pousse la tige dans sa queue avec le suppositoire jusqu'à ce qu'il rentre dans sa fente. Il couine un peu, et veut intervenir. Je l'en empêche en lui mettant une claque sur les doigts. Il repose ses mains gentiment sur ses cuisses et me laisse poursuivre. Il a compris à mon regard, qu'il ne fallait jouer au plus malin. Je sors le préservatif de son emballage, un plus petit exprès pour qu'il retienne le suppositoire et la tige dans sa queue. Il grimace un peu, mais ne dit rien et serre les fesses.

J'enfonce bien le suppositoire et pousse bien le préservatif jusqu'aux couilles. Une fois en place je passe un serflex juste sous son gland et je sers sur son sexe, un peu sans couper la circulation.

Maintenant que le sexe est occupé, je vais passer à ses fesses.

Je lui demande de relever ses fesses, de tenir ses jambes sur son ventre pour que je puisse oeuvrer. Première chose, il doit prendre sa température rectale. Il saisit le thermomètre et se l'enfonce dans le rectum. Quand il sonne, il le sort et me montre l'écran. 37°. Tout va bien, on peut poursuivre. Vu comme il s'est enfoncé le thermomètre, inutile aussi de préliminaires. Je lui fais écarter les fesses avec ses mains et insère le spéculum dans son rectum en tirant bien partout à droite et à gauche pour ne pas que la peau se coince, ça aussi il aime bien quand je lui tripote l'anus avec le spéculum. Une fois en place je commence à tourner la vis pour lui dilater le derrière. J'aime bien voir à l'intérieur ce que je lui fais. Et lui aime voir ce qu'il prend. J'ouvre la brique de 20 cl de lait et la fais couler dans son conduit. Il se dandine et sourit. Je ne perds pas de temps et continue avec les flocons d'avoine. Mais d'abord, je remets un petit tour de vis au spéculum pour ouvrir encore un peu son trou. Avec une cuillère à café je lui en mets 20 dans le cul. ça commence à coaguler, ça me plaît, c'est ce que je voulais. Je défais trois emballages de suppositoires et les jette dans son trou. Avec le pinceau rond je rentre dans son trou et pousse mon petit mélange bien au fond. Il se trémousse un peu. Fais seulement de la place pensais-je, c'est pas fini.

Je pèle une banane et la coupe en rondelle. Après chaque morceau que je lui mets dans le trou, je pousse bien avec le pinceau. Il essaie de fuir à chaque fois, mais je continue et il ne couine pas, donc il n'a pas vraiment mal, même si ça lui pousse en dedans.

Son trou commence à bien se remplir, mais il y a encore de la place. Je continue avec une deuxième banane. Son trou se remplit vite et le spéculum est bientôt caché par ma mixture. Je retire un peu le spéculum sans le sortir entièrement. La deuxième banane est bien rentrée et son cul est pas mal plein, mais il y a encore de la place avant d'arriver à sa rondelle. J'ouvre deux oeufs frais et les mets dans son fondement. Ils sont froids, il se trémousse. Je lui dit de ne pas bouger. Heureusement il s'arrête. Il est beau garni ainsi.

Je sors du coton et commence à lui boucher l'orifice en m'aidant de mes doigts et trifouillant bien dans son trou de chaque coté. Il me dit qu'il a le cul bien garni et qu'il est content.

Je continue en ouvrant une boîte de tampax. J'en défais dix. Ils sont petits. Je les passe à travers le spécululm et les place de façon à ce qu'ils forment un beau bouchon. J'en ai déjà mis huit et il commence à se dandiner. Le spéculum devient gênant, je n'ai plus assez de place et l'enlève. J'écarte ses fesses, c'est étroit, il n'y a plus beaucoup de place, mais le neuvième est rentré, malgré un petit couinement de sa part. Reste le dernier. Va falloir forcer un peu. Il couine à nouveau lorsque je pousse. J'ai poussé fort les dix pour bien les positionner dans son trou et que ça ne bouge pas. Il touche avec ses mains et semble plutôt content.

Je lui attache les mains au dessus de la tête et lui mets un bâillon dans la bouche. Il ne va pas aimer ce qui va suivre. Il fait les gros yeux lorsqu'il me voit la cire chaude à la main. Je repousse ses jambes en arrière pour bien voir son cul garni. Je commence à lui enduire le pourtour de sa rondelle dilater par les tampons. Je scelle bien son orifice pour le rendre totalement hermétique.On ne voit plus son trou, il est complètement recouvert sur ses deux fesses. Je laisse à la cire le temps de refroidir un peu et surtout pour aller chercher la suite. Il aime être garni, ben c'est pas fini.

Je prends la ceinture de chasteté et lui fait enfiler comme une culotte. Je lui détache les mains et le fais mettre à quatre pattes pour mieux serrer le harnais qui se fixe dans son dos. La cire a bien refroidi, et il a un sacré paquet entre les jambes. Je serre très fort la ceinture, trop fort, mais c'est volontaire. Il pousse un cri qui lui arrache une larme. Sans doute la faute à sa queue qui est retenue raide par la tige qu'elle retient. Son membre pointe verticalement plaqué sur son ventre, il ne peut pas bouger, car fermement retenu par la ceinture.

Je lui défait le bâillon et lui rend sa liberté. Il ne peux s'empêcher de se tripoter à travers la ceinture. Il bondit de joie et se frotte l'entrejambe partout où il peut appuyer son cul pour sentir ce qu'il a dedans. Visiblement content, il s'acharne sur l'accoudoir du canapé et me remercie de lui avoir si bien rempli le cul et la queue. Il aimerait encore en avoir une prochaine fois.

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